La réponse des transports collectifs à la mobilité nocturne

Note rapide Mobilité, n° 692

27 juillet 2015ContactNicolas Boichon

Les activités nocturnes se développent dans les grandes agglomérations, dont Paris. Elles augmentent les besoins en déplacements et appellent une réponse spécifique des transports urbains. Comment ce thème est-il abordé dans le monde et quel est le positionnement de l’Île-de-France ?
Une relative banalisation de la soirée et de la nuit est observée dans les grandes métropoles. Même si les activités nocturnes demeurent minoritaires, elles font émerger des besoins plus importants de déplacements sur ces créneaux atypiques. Revêtue d’une connotation symbolique, la nuit cristallise les fantasmes de citadins qui rêvent d’une « ville qui ne dort jamais » et où l’offre de transport est constante, à toute heure. Or l’analyse de ce thème met en évidence sa nature plurielle : multiplicité des populations concernées, fluctuations horaires, variations saisonnières, etc. Chaque agglomération a tenté d’apporter sa réponse spécifique, en conciliant les attentes liées au service public, avec d’importantes contraintes techniques et budgétaires.
 

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