La mobilité dans le périurbain : désir d’ancrage et nouvelles proximités

Note rapide Mobilité, n° 646

06 mars 2014ContactMireille Bouleau, Lucile Mettetal

Pour la première fois depuis nombre d’années, les distances quotidiennes parcourues dans le périurbain se stabilisent, pour tous les motifs de déplacement. Répondant à un fort besoin d’ancrage et à une volonté de maîtriser les coûts inhérents à leur mobilité, les habitants du périurbain exploitent de plus en plus les ressources de leur proximité.
Opposé à la ville dense, le périurbain est constamment décrié comme consommateur d’énergie et d’espace. En Île-de-France, la périurbanisation a démarré dès la fin des années 1960, et l’étalement urbain semble aujourd’hui globalement contenu.

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