Foncier et immobilier logistiques
Surfaces, location, rentabilité
La connaissance de l’immobilier logistique régional est susceptible de mobiliser des périmètres et des sources variées. Il faut bien avoir à l’esprit cette diversité, au risque de comparaisons difficiles sinon fautives. Un point méthodologique s'impose donc sur la question, d’autant que le site de l'OFELIF mobilise plusieurs sources statistiques.
La diversité des sources
L'évaluation de l’emprise foncière de la logistique est un exercice plus complexe qu'il n'y paraît. Le périmètre des objets considérés et les sources statistiques mobilisées sont issus de modalités de collecte différentes, plus ou moins accessibles et actualisées. Elles mettent en évidence des caractéristiques variables et complémentaires.
Les données répondent à des usages administratifs spécifiques (de taxation, d’autorisation) ou économiques (évaluation du marché). Elles peuvent être issues d’enquête ad hoc (SOeS, Atlas des entrepôts et des aires logistiques en France en 2015).
Un entrepôt peut dépendre d’un établissement dont l’activité principale n’est pas la prestation logistique ainsi, un site d’entreposage qui alimente en propre une usine située sur le même site.
Un site de stockage peut couvert (entrepôt s’il est et couvert et aux ¾ fermé par ses côtes) ou à l’air libre, ca qui concerne certains vracs (granulats et matériaux de construction), conteneurs, boissons, voitures ou engins.
Caractériser l'emprise foncière logistique

Classement des emprises foncières logistiques

Liste (non exhaustive) des bases de données mobilisables pour recenser et caractériser le parc immobilier logistique en Île-de-France
Le tableau synthétique ci-après se propose de recenser les sources usuellement mobilisées et de présenter leurs origines, la fréquence de leur mise à jour ainsi que leurs avantages et inconvénients.
Méthodes d’évaluation des surfaces d’immobilier logistique
Télécharger l'analyse comparative des différentes méthodes de recensement