Les quatre projets, portés par des équipes de 3 à 4 étudiants, ont exploré des problématiques et des sites très divers.
- Le 1er projet intitulé « Parcours des sens » fait le choix d’interventions stratégiques, telles que la connexion des berges, la création d’espaces de fraîcheur, ou la réintroduction d’espèces au cœur du territoire, sur des espaces particuliers du territoire de la boucle nord des Hauts de Seine. Les étudiants ont ainsi proposé une passerelle piétonne pour connecter le Quai des Gresillions et l’île des Vannes, un réaménagement des berges du Quai d’Alfred Sisley ou des interventions aux Courtilles pour réintégrer la Seine au cœur de la ville ou sur l’A86.
- Le 2e projet intitulé « Porter un autre regard sur les infrastructures » fait un pas de côté par rapport à la commande de l’Institut puisqu’il porte sur les délaissés urbains, notamment le long des voies ferrées. Il propose à la fois des interventions situées permettant de renforcer le lien ville/nature et la réalisation de continuités de nature entre ces interventions.
- Le 3e projet intitulé « Le port de Paris : Cap vers un équilibre écologique » a pour objectif de faire du port, territoire artificialisé et source de pollution, un modèle de durabilité, de préservation de la biodiversité et d’écologie industrielle, tout en tissant des liens avec les riverains et en ouvrant le port sur la ville.
- Le 4e projet intitulé « Le port de Gennevilliers : plus qu’un moteur économique, un paysage et un patrimoine portuaire à valoriser » est une initiative pour intégrer plus étroitement le port à la ville, rétablir des liens entre l’industrie, son territoire et les habitants, tout en faisant face aux défis inhérents à la transition écologique.
Ces pistes pourront être développés et intégrés par L’Institut Paris Region dans ses travaux sur la planification et la gestion du système fluvial francilien.
Cette synthèse, rédigée par l’équipe pédagogique et les étudiants de l'Ensa PB, présente les principaux résultats de cet atelier.
