Comment prendre en compte le fonctionnement des espaces ouverts ?

Les carnets pratiques du Sdrif, n° 5

02 septembre 2011ContactLaure de Biasi, Nicolas Laruelle, Sarah Charre (SAFER Île-de-France)

Le numéro 5 des Carnets pratiques aborde la nécessité de garantir la cohérence des espaces ouverts, ainsi que les continuités indispensables à leur fonctionnement et aux activités dont ils sont le support.

Les espaces ouverts : de quoi parle-t-on ?

Les espaces ouverts sont définis comme « l’ensemble des espaces agricoles, forestiers, naturels et des espaces verts urbains (parcs, jardins publics ou privés). Ces espaces non construits et non imperméabilisés présentent un avantage considérable, celui d’avoir un sol vivant, riche en potentialités et permettant des adaptations, notamment en période de mutations climatiques ou énergétiques ».

Des entités, qui ne prennent leur sens que dans un fonctionnement en réseau

Trop souvent, on considère les espaces ouverts comme des entités séparées et indépendantes, dont il faut assurer la protection ou la valorisation. Or, ces entités ne prennent leur sens que dans un fonctionnement en réseau, les reliant les uns aux autres. Les espaces et les continuités sont ici abordés selon les spécificités propres à chaque type d’espace agricole, forestier ou naturel et à chaque type de continuité.

Cette étude est reliée aux catégories suivantes :
Aménagement et territoires | Environnement urbain et rural | Développement durable | Espaces ouverts | Planification | Île-de-France 2030

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