Le parc locatif privé francilien, une fonction sociale qui perdure, mais à quel prix ?

Note rapide Habitat, n° 590

21 février 2012ContactHélène Fouquet (Anah), Anne-Claire Davy

Malgré la hausse des loyers et l’érosion du parc dit « social de fait », le parc locatif privé continue de loger une grande part des ménages à faibles revenus. Pour s’y maintenir, ces derniers sont amenés à faire des concessions sur leurs conditions de confort ou d’occupation.
La tension des marchés comme l’amélioration du standing, de la qualité et du confort des logements et la diminution constante du parc privé social de fait ont entraîné une progression sensible des loyers au cours des vingt dernières années.

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