La moitié des Franciliens vit dans des espaces mixtes en termes de revenus

Note rapide Société, n° 479

10 juillet 2009ContactEstelle Kesseler

L’Île-de-France se caractérise par des inégalités territoriales plus importantes qu’en province. Mais la région ne se résume pas à ses extrêmes. La moitié des ménages habite dans des communes où les revenus sont très disparates, signe d’une plus grande mixité.

La question des revenus des ménages peut être abordée de différentes manières. Si le revenu moyen permet d’ordonner les communes selon le niveau des richesses des ménages, il peut masquer de fortes disparités en termes de répartition. Un même revenu moyen peut résulter des revenus modestes et de revenus plus élevés, comme de revenus tous relativement proches de la moyenne. La structure sociale de la commune n’en sera pas la même. Pour présenter une analyse plus fine des différents types de structures sociales, une typologie des communes franciliennes a été réalisée à partir des distributions de revenus.

Cette étude est reliée aux catégories suivantes :
Société et habitat | Disparités